L'Espagne était à l'affiche de la journée du 17 juin.
Tout d'abord l'après midi au Musée Batha, Jordi Saval habitué du festival de Fès, a prouvé une fois encore que des instruments anciens pouvaient toujours enchanter nos oreilles de " geek stressés".
Le public venu en grand nombre reflète bien la mixité culturelle et sociale du Festival de Fès.
Ce public d'amateurs assidus n'est malheureusement pas respecté par ces photographes professionnels ou pas qui n'ont cessés de déambuler parmi les spectateurs se croyant transparents. Le soir ce fut pire encore lorsque l'une d'entre eux, telle une sirène sortant de l'eau, vêtue d'une très courte robe de plage aux décolletés jamais vus en ce lieu se donnait en spectacle dans toutes les positions acrobatique possibles et sans aucune retenue.
Les organisateurs de ce festival devraient imposer une charte du comportement aux représentants des médias.
Il semble que peu de gens ont le désir ou la curiosité de déambuler dans les allées du jardin de ce palais pourtant si agréables.....
Pour revenir au concert du soir avec le Sextet Tomatito: magnifique, un flamenco dans la grande tradition.
Depuis la disparition récente de Paco de Lucia que nous avions eu l'immense bonheur d'entendre l'an passé à Fès, Tomatito est considéré comme son successeur dans le monde des aficionados du genre.
D'ailleurs le nombre de spectateurs présent à cette soirée à battu les records d'entrées, plus une place de disponible bien avant le début du concert.
Remarque: la grande majorité des photos de ce blog est faite à partir d'un smartphone. Parti prix adopté par les rédacteurs.
Tout d'abord l'après midi au Musée Batha, Jordi Saval habitué du festival de Fès, a prouvé une fois encore que des instruments anciens pouvaient toujours enchanter nos oreilles de " geek stressés".
Jordi Saval / BP Souafine |
Le public venu en grand nombre reflète bien la mixité culturelle et sociale du Festival de Fès.
BP Souafine |
BP Souafine |
BP Souafine |
Ce public d'amateurs assidus n'est malheureusement pas respecté par ces photographes professionnels ou pas qui n'ont cessés de déambuler parmi les spectateurs se croyant transparents. Le soir ce fut pire encore lorsque l'une d'entre eux, telle une sirène sortant de l'eau, vêtue d'une très courte robe de plage aux décolletés jamais vus en ce lieu se donnait en spectacle dans toutes les positions acrobatique possibles et sans aucune retenue.
Les organisateurs de ce festival devraient imposer une charte du comportement aux représentants des médias.
Il semble que peu de gens ont le désir ou la curiosité de déambuler dans les allées du jardin de ce palais pourtant si agréables.....
BP Souafine |
BP Souafine |
Pour revenir au concert du soir avec le Sextet Tomatito: magnifique, un flamenco dans la grande tradition.
Depuis la disparition récente de Paco de Lucia que nous avions eu l'immense bonheur d'entendre l'an passé à Fès, Tomatito est considéré comme son successeur dans le monde des aficionados du genre.
D'ailleurs le nombre de spectateurs présent à cette soirée à battu les records d'entrées, plus une place de disponible bien avant le début du concert.
BP Souafine |
JL Souafine |
Remarque: la grande majorité des photos de ce blog est faite à partir d'un smartphone. Parti prix adopté par les rédacteurs.
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