L'ouverture au public du Borj Fez a été avancée et dès vendredi la foule s'est précipitée dans ce nouveau lieu de consommation d'un nouveau genre, en tous cas pour la population de Fès.
Pour un grand nombre de gens n'ayant jamais quitté la ville ou voyagé jusqu'à Casablanca et son Mall géant, le centre commercial de Fès constitue réellement une découverte à tous les sens du terme dont la plus déroutante est l'escalator qui paralysait beaucoup de gens.
Le parking souterrain de 600 places, unique à Fès, affichait complet. Même à pieds depuis la médina distante de 3 km les couples et familles affluaient ou repartaient chargés de sachets, de Carrefour principalement.
Car c'est bien cet hyper marché qui venait en tête de fréquentation. Caisses bondées, chariots pleins ont peut confirmer que le manque existait bien.
En ce premier jour la différence essentielle que l'on remarque en terme d'offre c'est le rayon poissonnerie.
Comme en France, Carrefour semble vouloir apporter ici aussi la fraicheur, la qualité et la variété des poissons. La concurrence sera rude pour les autres supermarchés de la périphérie comme Marjane dont le ciel pourrait se couvrir.
Toutes les boutiques du Borj ne sont pas encore opérationnelles, Virgin par exemple n'était pas ouvert, les rayons étant en cours de remplissage.
Au niveau des "restaurants", on est bien dans le fast food. A noter un snack "asiatique" le "Samuraï", le célèbre "Grillades Adil" qui officiait depuis des années dans le centre ville et qui a ouvert un espace dans le Borj comme l'a fait l'excellente pâtisserie des quartiers chics, "La Villa".
Contrairement à la décoration extérieure du Borj, celle intérieure est assez réussie, de beaux volumes, des circulations bien pensées avec de vastes allées et des liaisons inter-niveau bien réparties.
L'ambiance musicale est par contre éprouvante, musique à fond à un niveau de décibel épuisant. Par bonheur des terrasses ouvertes sur l'extérieure permettent de s'aérer et de trouver un peu de calme.
Quelques boutiques parmi celles déjà ouvertes:
Après cette longue incursion dans le 21ème siècle, retrouver la quiétude du patio de Souafine 19ème est toujours un vrai soulagement......
Pour un grand nombre de gens n'ayant jamais quitté la ville ou voyagé jusqu'à Casablanca et son Mall géant, le centre commercial de Fès constitue réellement une découverte à tous les sens du terme dont la plus déroutante est l'escalator qui paralysait beaucoup de gens.
Le parking souterrain de 600 places, unique à Fès, affichait complet. Même à pieds depuis la médina distante de 3 km les couples et familles affluaient ou repartaient chargés de sachets, de Carrefour principalement.
Car c'est bien cet hyper marché qui venait en tête de fréquentation. Caisses bondées, chariots pleins ont peut confirmer que le manque existait bien.
En ce premier jour la différence essentielle que l'on remarque en terme d'offre c'est le rayon poissonnerie.
Comme en France, Carrefour semble vouloir apporter ici aussi la fraicheur, la qualité et la variété des poissons. La concurrence sera rude pour les autres supermarchés de la périphérie comme Marjane dont le ciel pourrait se couvrir.
Toutes les boutiques du Borj ne sont pas encore opérationnelles, Virgin par exemple n'était pas ouvert, les rayons étant en cours de remplissage.
Au niveau des "restaurants", on est bien dans le fast food. A noter un snack "asiatique" le "Samuraï", le célèbre "Grillades Adil" qui officiait depuis des années dans le centre ville et qui a ouvert un espace dans le Borj comme l'a fait l'excellente pâtisserie des quartiers chics, "La Villa".
Contrairement à la décoration extérieure du Borj, celle intérieure est assez réussie, de beaux volumes, des circulations bien pensées avec de vastes allées et des liaisons inter-niveau bien réparties.
L'ambiance musicale est par contre éprouvante, musique à fond à un niveau de décibel épuisant. Par bonheur des terrasses ouvertes sur l'extérieure permettent de s'aérer et de trouver un peu de calme.
Quelques boutiques parmi celles déjà ouvertes:
Après cette longue incursion dans le 21ème siècle, retrouver la quiétude du patio de Souafine 19ème est toujours un vrai soulagement......